Affublée de préconceptions, clichés et préjugés des plus fallacieux, l'image biaisée de la capitale du sud a consenti à limiter les hordes touristiques qui préfèrent s'emparer des littoraux plus orientaux de la Côte d'Azur, et à amenuiser l'attractivité exercée par la cité phocéenne. Un défi tout autant qu'une opportunité s'est ainsi posé et offert à la cité phocéenne en 2013 en tant que Capitale Européenne de la Culture, et lui a permis de se parer d'une nouvelle robe de modernité attrayante et de culture novatrice.
L'objectif était de dépasser la photographie vieillie et écornée d'un univers, plus qu'une ville, que représentait la cité phocéenne, teinté de jaune pastis, accentué à la Pagnol, et cadré par les limites d'un terrain de pétanque. La nouvelle Marseille veut désormais assumer le cosmopolitisme culturel et des civilisations qu'elle représente et qui lui donne une longueur d'avance. L'apport principal de cette opération touche bien entendu les structures de transmission du savoir humain local, national et international, dont les deux millions de touristes supplémentaires de l'année précédente ont pu profité. En fer de lance, le Musée des Civilisations de l'Europe et de la Méditerranée se pose en point de convergence de toutes les cultures qui lient cette étendue maritime, la Villa Méditerranée souhaite faire dialoguer les deux rives tout comme elle joint par son architecture audacieuse terre et mer, et le Fond Régional d'Art Contemporain regarde vers l'avenir de ce haut lieu de création. Mais les trésors d'hier ont trouvé parfaite occasion pour se refaire une jeunesse et offrir toujours plus à leurs visiteurs : les Musées de l'Histoire de Marseille, des Beaux Arts, d'Histoire Naturelle, ou d'Art décoratif et de la Mode, pour ne citer qu'eux.
Marseille se situe donc aujourd'hui au point de corde du virage qu'elle a décidé d'emprunter en faisant d'un événement éphémère une réalité immuable, pour renouveler son économie par la culture, le tourisme et le commerce, tout en conservant les piliers qui ont fait sa pérennité : son cadre maritime et provençal enchanteur, et ses habitants francs et authentiques. Opération réussie puisqu'elle figure désormais dans le Top Five des Places To Go de Trivago, souligné par le New York Times.
C'est ici que nous réalisons MyLiberty, une résidence aux lignes contemporaines, composée d'appartements spacieux et lumineux avec vues à orientation multiple au choix sur la ville, le port ou la mer.